Les deux geeks californiens de robedoor sortent là leur premier long jet après avoir exploré différents formats jusque là très confidentiels ( cd-r, live , etc...). Parce qu'il faut forcément être un geek pour coller un visuel (aussi joli soit-il) piqué à Lovecraft en guise de pochette. Et qu'il faut toujours en être un pour coucher sur galette 4 titres de non musique et arriver à faire passer le tout pour de l'art. Robedoor joue dans la cour actuellement sur-chargée des groupes qui mèlent le bruit d'un bourdonnement de guitares au foin possible avec une batterie, des claviers ou autres instruments. Avec une production playskool le duo s'inscrit dans cette nouvelle génération de hippies qui produit des albums à tour de bras, en faisant des concerts à 4 pattes autour de pédales d'effets. Quand cette scène va s'écrouler, tout cela prendra peut-être du sens. En attendant, Robedoor est dans la moyenne: ni mauvais, ni forcément excellent.
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1 commentaire:
pas mi, et pourtant j'ai été un grand amateur de death industrial et de dark ambient ; générique, quoi
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