Ce disque est en fait une version commercialisée de la bande sonore de l'exposition dédiée à David Lynch à la fondation Cartier en 2007, et produit par...Lynch lui même. David nous joue du synthé, tranquilement, presque au coin du feu. Dans le cadre de l'exposition, le disque faisait son petit effet. Omniprésents grâce au système d'écoute de la gallerie, les sons dessinés par Lynch accompagnaient la contemplation de dessins sur des serviettes en papier pris dans des avions, restaurants, sur des post-it, des nappes déchirées, des feuilles de cahiers, des toiles en tout genre, mais aussi des photos ou des peintures. On est proche de l'ambiance des films de Lynch, cette ambiance californienne étouffante, lourde, celle qui séloigne des lumières d'Holywood pour
aller explorer les malaises des longues avenues troubles de la ville. Chaud, lourd, pesant, contemplatif. Les obscurs champs sonore de Lynch gagnerait à être plus souvent publié.
aller explorer les malaises des longues avenues troubles de la ville. Chaud, lourd, pesant, contemplatif. Les obscurs champs sonore de Lynch gagnerait à être plus souvent publié.
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