Vous commencez surement à le savoir. Je suis adepte des musiques molles, lentes à s’instaurer mais qui parient sur l’ambiance et le sentiment total dégagé. Et ça faisait quelques temps que je n’avais pas eu ma dose de transe, psychédélique de surcroît. Là voilà. Trois morceaux, pas forcément suivis, mais d’une cohérence bouleversante. La rythmique fait son boulot et marque le ton pour que le reste des instruments (franchement je ne saurais pas en faire la liste) tisse une toile mélodique par-dessus. Petit à petit les sons se font limpides, le pourquoi d’une disto, d’un larsen, et au recoin d’un solo wah wah étouffé par une nappe envahissante on découvre l’essence même des sons. Chaque instrument trouve sa place, jusqu’à une basse prenante, pour participer à un tout diaboliquement rôdé mélodiquement. Bien sur, l’inconvénient de ce disque c’est qu’il a une fin, et qu’il laisse la tête dans l’eau tant l’ambiance était forte. Must Have.
jeudi 23 octobre 2008
Oneida – Preteen Weaponry
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