lundi 8 juin 2009
The Warlocks - The Mirror Explodes
Quelque chose était jusqu'au boutiste dans Heavy deavy skull lover, laissait transpirait un desespoir facile a discerner, easy listening dans les mélodies. Les warlocks font partie de ces groupes nouvelle génération, bercés par de grandes influences, qui façonnent à leur forme la nouvelle mouture du rock psychédélique. Ca shoegaze un peu par ci, post punk un peu par là, mais gémit beaucoup. LEs warlocks sont la version mid tempo du brian jonestown massacre sur cet album, la version descente de drogue, la version chimique et fatiguée. Ça prend plutot, surtout pour la maitrise sonore de l'ensemble, ça sent un peu le démaquillant, et ça gémit toujours autant qu'á l'accoutumée. Des fois on a envie de dire "ta gueule", et des fois cette ambiance nous enveloppe et nous accueille. Le groupe n'a de toute façon plus rien à dire, et la mélancolie qui enveloppe the mirror explodes est rêveuse, matinale, là où la rougeur du précédent était clairement nocturne. A conseiller pour ceux qui aimaient le groupe, où cette bande de new rockers assoiffés de revival, mais tout de même largement décu par cet effort sans grand interêt.
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3 commentaires:
autant à part le premier morceau j'avais jamais réussi avec heavy devy, et je voyais pas la fameuse darkness, autant là ...
Je renverse le propos. Phoenix, pour le coup, était un fac similé du BJM, des Dandy Warhols ou de BRMC, avec l'influence patente de Jason Pierce. Un disque stonien efficace mais un peu banal, voire vulgaire. Surgery quant à lui était pop et acidulé, ça sonnait trop rond pour moi. Mirror explodes est l'album que je n'attendais pas d'eux. Un disque atmosphérique qui n'a plus grand chose à voir avec le rock, nouvelle génération ou pas. Et je trouve ça très puissant.
J'y reviens irresistiblement sur ce disque quand même...
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